superbe!
Paru sur le site ostéopathie-france.net (http://www.osteopathie-france.net/joomla/content/view/138/1/), je me permets de transcrire ici ce texte de Marco GABUTTI DO et d'adresser à ce monsieur un grand merci. "Dans le petit univers de l'ostéopathie, les écoles ont longtemps fait leur loi. On comprend d'autant mieux leur réticence maintenant que la loi fait les écoles. Et je vois dans cette liste trop « parfaite » des écoles agréées, un dernier sursaut des fortes têtes ostéopathiques, ces hommes pressés grâce ou à cause desquels nous en sommes arrivés là.
Nous nous sommes battus pour des études longues et une profession à haut niveau de responsabilité, et même si nous ne pouvons pas dire que nous avons perdu, nous sommes loin d'avoir gagné. Mais les fortes têtes s'avèrent parfois mauvaises perdantes et revenchardes.
Malgré un texte de loi entérinant une formation minimale de trois ans comprenant un peu plus de 2600 heures, toutes les écoles agréées dispensent une formation en cinq ans, chose réjouissante et fortement souhaitable. Mais comment se fait-il, maintenant que la loi fait les écoles, qu'aucune formation répondant stricto sensu aux arrêtés et décrets récemment publiés n'apparaisse dans la liste ?
Quels critères, autres que les arrêtés et textes de lois, la commission a-t-elle appliqué pour aboutir à un tel résultat, trop prévisible pour être au dessus de tout soupçon, trop proche des desiderata des directeurs les plus influents, trop conforme aux diverses petites vengeances personnelles trouvant dans les décisions de la commission un moyen de contenter temporairement leur soif de revanche."
Marco Gabutti, D. O.
Nous nous sommes battus pour des études longues et une profession à haut niveau de responsabilité, et même si nous ne pouvons pas dire que nous avons perdu, nous sommes loin d'avoir gagné. Mais les fortes têtes s'avèrent parfois mauvaises perdantes et revenchardes.
Malgré un texte de loi entérinant une formation minimale de trois ans comprenant un peu plus de 2600 heures, toutes les écoles agréées dispensent une formation en cinq ans, chose réjouissante et fortement souhaitable. Mais comment se fait-il, maintenant que la loi fait les écoles, qu'aucune formation répondant stricto sensu aux arrêtés et décrets récemment publiés n'apparaisse dans la liste ?
Quels critères, autres que les arrêtés et textes de lois, la commission a-t-elle appliqué pour aboutir à un tel résultat, trop prévisible pour être au dessus de tout soupçon, trop proche des desiderata des directeurs les plus influents, trop conforme aux diverses petites vengeances personnelles trouvant dans les décisions de la commission un moyen de contenter temporairement leur soif de revanche."
Marco Gabutti, D. O.
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