Communiqué du et au COS
Voir le communiqué du COS sur le Site de l'Ostéopathie (http://www.osteopathie-france.net/content/view/330/9/).
Je précise bien que les propos suivants n'engagent que moi et je tiens à repréciser le respect que j'ai pour l'ensemble du personnel du COS, notamment du COS Aquitaine dont je suis issu.
LETTRE AU COS
Les 5 années de formation reçues chez toi ont été de très bon niveau: la partie médicale, assurée par du personnel qualifié venant de la faculté de médecine, nous permet aujourd'hui de nous présenter aux médecins la tête haute et de leur prouver notre non-dangerosité. La partie ostéopathique, assurée par des ostéopathes d'expériences diverses, est une base plus que solide qu'il n'appartient qu'à nous d'utiliser à bon escient.
Je regrette une chose: le sacrifice de la 6ème année (2007/2008) dont le format, je l'ai exprimé à plusieurs reprises, se trouve bien loin des valeurs auxquelles tu prétends adhérer.
Les décrets sont aujourd'hui la base de l'ostéopathie française. Il faut faire avec. Et s'en satisfaire, ils auraient pu être bien pires! Si le Paysage Ostéopathique Français (POF, joli terme lancé par le Site de l'Ostéopathie) s'unifiait enfin, ces décrets ne pourraient qu'évoluer dans les années à venir. Mais, tu, nous, passons plus de temps à régler nos petits comptes avec le voisin ou à satisfaire notre nombrilisme qu'à travailler efficacement!
Je voudrais aussi te rappeler qu'il y a un an ma promotion connaissait de grandes difficultés à être écoutée par tes directeurs et que l'obtention du statut que nous donnaient les décrets fut un combat!
Il faut encore ajouter que les recommandations de l'OMS en matière d'ostéopathie ne sont toujours pas parues... (voir l'article du 2 novembre 2007 http://osteopotes.blogspot.com/2007/11/oms-et-ostopathie.html)
Alors, cher COS, sache que je ne te soutiens pas vraiment, mais que je ne te tapes pas dessus non plus. Résouds tes problèmes internes, retrouve les valeurs de tes débuts, cesse de te justifier aux yeux des autres et fais que dans un an on parle de toi comme un vrai pionnier et non comme un acteur de la "guéguerre" des ostéopathes.
Yannick TAUZIN
Je précise bien que les propos suivants n'engagent que moi et je tiens à repréciser le respect que j'ai pour l'ensemble du personnel du COS, notamment du COS Aquitaine dont je suis issu.
LETTRE AU COS
Les 5 années de formation reçues chez toi ont été de très bon niveau: la partie médicale, assurée par du personnel qualifié venant de la faculté de médecine, nous permet aujourd'hui de nous présenter aux médecins la tête haute et de leur prouver notre non-dangerosité. La partie ostéopathique, assurée par des ostéopathes d'expériences diverses, est une base plus que solide qu'il n'appartient qu'à nous d'utiliser à bon escient.
Je regrette une chose: le sacrifice de la 6ème année (2007/2008) dont le format, je l'ai exprimé à plusieurs reprises, se trouve bien loin des valeurs auxquelles tu prétends adhérer.
Les décrets sont aujourd'hui la base de l'ostéopathie française. Il faut faire avec. Et s'en satisfaire, ils auraient pu être bien pires! Si le Paysage Ostéopathique Français (POF, joli terme lancé par le Site de l'Ostéopathie) s'unifiait enfin, ces décrets ne pourraient qu'évoluer dans les années à venir. Mais, tu, nous, passons plus de temps à régler nos petits comptes avec le voisin ou à satisfaire notre nombrilisme qu'à travailler efficacement!
Je voudrais aussi te rappeler qu'il y a un an ma promotion connaissait de grandes difficultés à être écoutée par tes directeurs et que l'obtention du statut que nous donnaient les décrets fut un combat!
Il faut encore ajouter que les recommandations de l'OMS en matière d'ostéopathie ne sont toujours pas parues... (voir l'article du 2 novembre 2007 http://osteopotes.blogspot.com/2007/11/oms-et-ostopathie.html)
Alors, cher COS, sache que je ne te soutiens pas vraiment, mais que je ne te tapes pas dessus non plus. Résouds tes problèmes internes, retrouve les valeurs de tes débuts, cesse de te justifier aux yeux des autres et fais que dans un an on parle de toi comme un vrai pionnier et non comme un acteur de la "guéguerre" des ostéopathes.
Yannick TAUZIN
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